Le Bois des noyers, à Nîmes, vu du ciel

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Publié le 28 septembre 2024Vidéo

Par Mathieu Lagouanère


Redécouvrez de façon inédite le Bois des noyers à Nîmes avec ce nouvel épisode de notre série « Nîmes vue du ciel ».

Nouvel épisode de notre série « Nîmes vue du ciel », dans la collection « les espaces verts de Nîmes », avec le Bois des noyers.

Il tient son nom des arbres qui le peuplent. Près de 600 noyers plantés là il y a environ 40 ans. Au sud de Nîmes, ouvert en 2020 (pendant la crise sanitaire : une bouffée d’oxygène pour les riverains pendant le confinement), le Bois des noyers s’étend sur près de 10 hectares entre l’actiparc Georges-Besse et l’autoroute A9.

Situé en zone inondable (et donc non constructible) cet espace a servi voilà plusieurs décennies de terrain d’expérimentation pour la recherche autour des noyers, donc, mais aussi des aulnes, des cerisiers et des amandiers ou des peupliers, soit un total de 700 arbres.

Son aménagement en parc urbain est un projet menée par Nîmes Métropole, en concertation avec les comités de quartiers (Costières, Beausoleil, Cité des Espagnols, Charmilles et Marronniers) mais aussi les étudiants voisins de l’EERIE et les salariés du parc Georges-Besse. Un public qui le fréquente toujours régulièrement et un projet couronné de succès : le Bois des Noyers a été primé par la Fédération française du paysage, en obtenant le prix Réalisations dans la catégorie Espaces naturels et agricoles au palmarès du paysage 2021.

Bancs, aires de pique-nique, hamacs, chaises longues, tables de ping-pong, terrains de pétanque, de volley et des jeux pour enfants viennent agrémenter ce parc urbain. Côté chemin-bas du Mas de Boudan, « la plaine des loisirs » a pour vocation d’accueillir des concerts, un cinéma en plein air et diverses manifestations culturelles. Deux réserves écologiques ont aussi été créées pour laisser s’exprimer la biodiversité du site.

A terme, le Bois des Noyers s’inscrira dans la continuité de la future coulée verte, en prolongement du futur parc Jacques-Chirac.