L'ACTUALITÉ DE LA VILLE DE NÎMES

L'ACTUALITÉ DE LA VILLE DE NÎMES

Le chantier de réhabilitation complète de l’espace Pelatan, au Chemin-bas d’Avignon, est terminé. Ce mardi matin, le Maire de Nîmes Jean-Paul Fournier s’est rendu sur place pour le constater.

Les travaux se sont achevés avec près de deux mois d’avance : au Chemin-bas d’Avignon, l’espace sportif Maurice-Pelatan, entièrement réaménagé, est accessible depuis le 1er mai. « Une bonne nouvelle car c’est un équipement qui était très attendu », se réjouit Olivier Bonné, Adjoint délégué au suivi de la Rénovation urbaine. Ce mardi matin, il a accompagné le Maire de Nîmes Jean-Paul Fournier pour une visite de terrain, sur place.

Jean-Paul Fournier, Maire de Nîmes, s’est rendu sur place pour inspecter les travaux réalisés.

En quoi consiste le changement ? Le city-stade existant s’est vu offrir un nouveau revêtement. Un demi-terrain de football synthétique (61 m par 46 m) a été créé, tout comme un demi-terrain de basket sur un plateau modulable et polyvalent, un terrain de pétanque (tout près du foyer Albert-Camus… et de ses joueurs), des agrès gymniques ou encore des tables de tennis de table. Mais aussi des jeux pour y enfants, des tables de pique-nique, un espace détente, des fontaines à eau…

Un site vertueux pour l’environnement

« Ce n’est pas seulement un espace sportif, insiste l’élu, mais un véritable lieu de vie et de rencontre du quotidien, ouvert, familial et multigénérationnel, qui s’intègre dans le futur parc urbain pensé à l’échelle du quartier, dans le cadre du Nouveau programme de renouvellement urbain (NPNRU). »

Un espace de 10 000 m2 au total que la Ville a imaginé en concertation avec les habitants du quartier et les associations utilisatrices. La dimension environnementale a particulièrement été prise en compte. Les arbres (les beaux pins parasols notamment) ont été intégrés au projet et donc conservés. Via des procédés innovants de traitement des sols, plateau sportif, cheminements piétons (un mail relie désormais la rue Jean- Moulin à la place du Marché) et même le parking, en partie engazonné, laissent s’infiltrer l’eau. D’ores et déjà, la population du quartier s’est emparée des lieux.

Par Mathieu Lagouanère

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