L'ACTUALITÉ DE LA VILLE DE NÎMES

L'ACTUALITÉ DE LA VILLE DE NÎMES

La Ville agit contre le sexisme

Au service des nîmoises

Elles font bouger la Ville !

La Ville agit contre le sexisme

Au service des nîmoises

Elles font bouger la Ville !

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La Ville agit contre le sexisme

Une récente enquête nationale* le révèle : en dépit d’une sensibilité toujours plus grande aux inégalités qui frappent les femmes, les clichés et les stéréotypes sexistes perdurent. Violences, discriminations, inégalités professionnelles, sociales ou domestiques : du chemin reste à faire et la Ville de Nîmes y veille dans tous ses domaines d’intervention.

photographie, tourisme, Nimes

Chaque année, un rapport sur la situation en matière d’égalité entre les femmes et les hommes au sein de la collectivité est présenté en conseil municipal. « En concentrant un tiers des emplois de la fonction publique, les collectivités territoriales sont en première ligne face à ces inégalités auxquelles il convient de remédier », explique Mylène Mouton, conseillère déléguée au Droit des femmes, à l’égalité, à la lutte contre les discriminations et à l’aide aux victimes. Véritable baromètre des écarts à réduire et des actions mises en place pour y parvenir, il mobilise chaque service à cette cause.

Mesurer chaque année les progrès réalisés

Concernant les écarts professionnels observés pour ses propres agents, une attention à une plus grande mixité dans des métiers encore trop genrés est recherchée, tout comme est recherchée l’équité de genre lors des recrutements, quel que soit le niveau de responsabilité. Les critères des marchés publics municipaux nîmois, imposent également à tous ses prestataires une prise en compte de cette égalité. La lutte contre les stéréotypes de genre est aussi à l’œuvre au sein des crèches municipales, à travers les jeux mais aussi l’implication du père dans le suivi de son enfant, tout comme à l’école sur les temps périscolaires. L’égal accès au sport et à certaines disciplines est également un enjeu pour les éducateurs sportifs.

À Nimes :

47,5 %

d’hommes (Source Insee)

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52,5 %

de femmes (Source Insee)

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Pour l’exemplarité du sport féminin, deux championnes nîmoises sont accompagnées dans leur préparation aux J.O. de Paris 2024.

Une action qui s’intensifie dans les quartiers prioritaires

« La question de l’égalité des droits pour les femmes est transversale à notre action, tout au long de l’année, dans les quartiers prioritaires. C’est notamment l’un des critères prévalant à l’attribution des subventions aux associations partenaires de la Ville » indique François Courdil, adjoint délégué à la politique de la ville et aux centres sociaux. Plus que jamais, les quartiers se saisissent de la Journée mondiale des droits de la femme du 8 mars et proposent un programme durant tout le mois d’animations et de sensibilisation.

À Nimes :

47,5 %

d’hommes (Source Insee)

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52,5 %

de femmes (Source Insee)

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55,9 %

d’hommes cadres (Source Insee)

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44,1 %

de femmes cadres (Source Insee)

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40 %

de 25-34 ans trouvent normal que les femmes s’arrêtent de travailler pour s’occuper des enfants*

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* 5e rapport annuel sur l’état du sexisme en France publié en janvier 2023 par le Haut Conseil à l’Égalité

Au service des nîmoises

De nombreux services de la Ville de Nîmes sont mobilisés pour la cause des droits des femmes et de l’égalité hommes-femmes à travers plusieurs actions de terrain mais aussi de prévention et de sensibilisation.

La science, c’est aussi pour les femmes

Les femmes sont toujours minoritaires dans certains domaines scientifiques. Heureusement, les barrières tombent et les a priori autour du sujet changent. Le Muséum d’Histoire naturelle de Nîmes souhaite encourager celles qui rêvent d’une carrière scientifique pour une véritable égalité des chances et pour que la recherche et l’innovation ne se privent pas de brillants esprits féminins. « Les Elles de la science », du 9 au 11 mars de 10h à 18h au Muséum

Stop au harcèlement de rue avec Angela !

Le dispositif Angela, déployé en 2021 par la Ville de Nîmes pour lutter contre le harcèlement de rue, continue de se développer et de se généraliser. Il permet à une personne qui se sent harcelée ou importunée de se rendre dans un établissement et prononcer « Angela », manière discrète de demander de l’aide à un commerçant. Ce dernier amène la victime dans une zone de repli d’urgence à l’abri des regards afin d’appeler un membre de sa famille, un taxi ou les forces de l’ordre selon la gravité des faits. Vous pouvez repérer les établissements « refuges » à l’aide de stickers « Ici, vous pouvez demander Angela ». En 2022, ce dispositif a permis de prendre en charge 13 victimes. Aujourd’hui, Angela recense au total 155 lieux refuges. Rejoignez le réseau des établissements « refuges » en contactant la Direction de la Prévention de la Ville de Nîmes : 04 66 76 51 36 ou direction-prevention@ville-nimes.fr Retrouvez la liste des établissements « refuges » sur nimes.fr ou sur l’application Nîmes

Lutter contre la précarité hygiénique

La précarité hygiénique touche environ 10 000 Nîmoises. La Ville a déjà coordonné deux campagnes de dons pour aider les femmes dans le besoin. La deuxième campagne, qui s’est terminée en novembre 2022, a permis de récolter la somme de 30 000 € auprès de partenaires privés et de nombreux produits d’hygiène féminine pour constituer l’équivalent de 4 000 kits distribués à des associations. Quasiment le double de sa récolte en 2021 : « On constate une forte augmentation des dons. C’est la preuve que la campagne fonctionne et qu’elle commence à s’ancrer dans les mentalités », se réjouit Dolorès Orlay Moureau, adjointe déléguée à la Santé, à l’Hygiène et à la prévention des risques sanitaires.

Les marches exploratoires

Organisées par la Ville dans tous les quartiers de Nîmes, les marches exploratoires sont une méthode d’observation de terrain effectuée par petits groupes. Elles permettent d’identifier à la fois les aspects positifs des espaces publics du quartier où elles habitent et les zones plus dégradées ou d’insécurité. Un matériel est fourni aux participantes afin de consigner tous les éléments à la source de leur sentiment d’insécurité : inégalités entre les femmes et les hommes, pratiques sociales d’occupation ou d’usage des espaces, aménagement du territoire et du cadre de vie… À Nîmes, ces « marches » sont pratiquées depuis 2016. Elles ont été menées en préambule à l’élaboration du projet de rénovation urbaine de chaque quartier. Il s’agit également de développer la participation directe des femmes à la vie citoyenne de la ville et aux processus décisionnels locaux.

Des cours de boxe pour les victimes de violences

La Ville, le CIDFF 30 et David Tebib, président de l’association « Tout est toujours possible », soutiennent l’action « Je ne suis plus ton punching-ball ». Le principe est simple : ce sont des cours de boxe gratuits, destinés aux femmes victimes de violences. À l’initiative de ce projet, Estelle Stehly, sept fois championne de France de full-contact, qui a elle-même été victime de violences et de harcèlement dans sa jeunesse. Au-delà de leur apprendre à se défendre, la démarche est surtout de libérer la parole, pour que les victimes prennent confiance en elles, se reconstruisent et expriment leurs émotions pour mieux s’affirmer. Tous les samedis matin à la Maison des associations de la Ville de Nîmes – 2, impasse Jean Mace Pour s’inscrire CIDFF du Gard 20, rue de Verdun 30900 Nîmes 04 66 38 10 70 ou accueil@cidff30.fr

Le CCAS s’engage en faveur des droits des femmes

Le Centre Communal d’Action Sociale se mobilise pour améliorer la prise en charge des victimes de violences intrafamiliales. En 2022, ce sont 22 personnes qui se sont adressées au CCAS pour demander de l’aide. Elles ont bénéficié d’un soutien de la part des Conseillères en Économie Sociale et Familiale. En fonction de la situation, le CCAS peut délivrer un bon de nuitée d’hôtel, rechercher un logement temporaire et proposer un accompagnement social global des familles. Après évaluation de la situation sociale et financière, le CCAS peut délivrer, aux personnes en rupture momentanée de ressources, une aide alimentaire d’urgence. Le CCAS peut également s’appuyer sur son Chantier d’Insertion pour favoriser l’insertion professionnelle des femmes.

Mylène Mouton,

Conseillère déléguée au Droit des Femmes, à l’Égalité, à la lutte contre les discriminations et à l’Aide aux victimes

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En quoi la Ville a-t-elle fait des droits des femmes une priorité ?

Cela passe tout d’abord par la création d’une délégation dédiée aux droits des femmes au sein du conseil municipal. Toute l’année, nous soutenons les associations du territoire qui œuvrent en ce sens et qui sont de plus en plus nombreuses. Nous avons entrepris plusieurs actions depuis ce nouveau mandat : le dispositif Angela, la coordination des actions pour octobre rose, la mise à disposition de capuchons de verres pour lutter contre la drogue du violeur, mais aussi la formation des agents de la collectivité pour mieux accueillir les victimes de violence ou de harcèlement. Nous tenons aussi à les sensibiliser sur ce sujet en interne. Tous les services de la Ville sont mobilisés et un déontologue permet d’intervenir lors de tout signalement de discrimination ou harcèlement.

Elles font bouger LA VILLE !

Artistes, entrepreneuses, sportive, présidente d’association et représentante de la loi : portraits de Nîmoises qui aiment et font vivre leur ville.

Anissa et Laura, un duo gourmand

L’une ravit les papilles nîmoises de ses sublimes créations chocolatées, la seconde émerveille les gourmands de ses pâtisseries à Index Glycémique bas. Laura Huguet et Anissa Sadaoui sont aujourd’hui associées en plein centre-ville dans la boutique du 44 bd Victor Hugo, LH Chocolaterie. « J’ai fait une place à Anissa », s’amuse la jeune chocolatière. « Je l’avais évidemment suivie lors de sa participation à l’émission Le meilleur pâtissier en 2015 et nous nous sommes retrouvées des années plus tard dans la même formation. » Forte du succès de sa première pâtisserie accolée à Bastide Médical, Anissa souhaitait s’implanter dans l’Écusson. « Depuis deux ans, je sous-traite la fabrication de mes chocolats à Laura. Je lui confie mes recettes, et c’est elle qui les fabrique. Ce duo était une évidence », s’enthousiasme la talentueuse Nîmoise, désormais à la tête de quatre points de vente (Nîmes centre-ville, Nîmes bd Allende, Alès, Les Angles). Les deux jeunes femmes travaillent actuellement sur leurs prochaines créations qui sortiront pour les fêtes de Pâques.

Facebook et Instagram : LH Chocolaterie
Facebook et Instagram : Anissa pâtisserie

44 bd Victor Hugo

Anissa et Laura, un duo gourmand

L’une ravit les papilles nîmoises de ses sublimes créations chocolatées, la seconde émerveille les gourmands de ses pâtisseries à Index Glycémique bas. Laura Huguet et Anissa Sadaoui sont aujourd’hui associées en plein centre-ville dans la boutique du 44 bd Victor Hugo, LH Chocolaterie. « J’ai fait une place à Anissa », s’amuse la jeune chocolatière. « Je l’avais évidemment suivie lors de sa participation à l’émission Le meilleur pâtissier en 2015 et nous nous sommes retrouvées des années plus tard dans la même formation. » Forte du succès de sa première pâtisserie accolée à Bastide Médical, Anissa souhaitait s’implanter dans l’Écusson. « Depuis deux ans, je sous-traite la fabrication de mes chocolats à Laura. Je lui confie mes recettes, et c’est elle qui les fabrique. Ce duo était une évidence », s’enthousiasme la talentueuse Nîmoise, désormais à la tête de quatre points de vente (Nîmes centre-ville, Nîmes bd Allende, Alès, Les Angles). Les deux jeunes femmes travaillent actuellement sur leurs prochaines créations qui sortiront pour les fêtes de Pâques.

Facebook et Instagram : LH Chocolaterie
Facebook et Instagram : Anissa pâtisserie

44 bd Victor Hugo

Cécile Gensac, Madame la procureure

« Je suis profondément éprise d’un sentiment de justice. En classe de 5e, je notais déjà sur la fiche de renseignement que je voulais travailler pour la justice. » Depuis le 1er septembre, Cécile Gensac est la Procureure de la République auprès du tribunal de Nîmes. Originaire de Bordeaux, elle avait déjà exercé cette fonction de Magistrate à Pau (Pyrénées-Atlantiques) pendant 5 ans et demi. De 2013 à 2017, elle a été également sous-directrice de l’École nationale de la magistrature en charge des recrutements et de la validation des compétences. « Pour la société, je crois qu’un bon Procureur doit s’attacher à l’application du Droit sans oublier qu’il est le garant des libertés individuelles tout en s’adaptant à son territoire », explique Cécile Gensac qui veut aussi continuer la lutte contre les violences faites aux femmes en travaillant sur plusieurs axes comme la protection de l’enfance, la pédagogie et, bien sûr, la répression.

Nicole Bousquet, artiste aficionada

Après Kelli Bedrossian, Brigitte Weymann et Serena Carone, Nicole Bousquet est la quatrième femme à réaliser l’affiche de la Feria depuis qu’elle est confiée à des artistes. « C’est un privilège d’être aux côtés de grands noms de la peinture tels que José Pirès ou Michel Gilles », se félicite la peintre née à Lodève et qui habite à Nîmes depuis plus de 30 ans. Son œuvre pour cette Feria : un portrait de la rejoneadora (cavalière tauromachique), la Péruvienne Conchita Cintrón. « J’aime la corrida, j’ai déjà réalisé des portraits de Juan Belmonte, Morante de la Puebla, Nimeño II… Mais pour cette œuvre, je voulais une femme forte et libre qui s’est engagée dans ce monde très masculin. Elle est l’une des grandes figures de la tauromachie, non seulement pour les femmes mais aussi de la tauromachie en général », continue l’artiste qui utilise le brou de noix donnant cet aspect évanescent et couleur café à ses toiles.
nicolebousquet.fr

Nicole Bousquet, artiste aficionada

Après Kelli Bedrossian, Brigitte Weymann et Serena Carone, Nicole Bousquet est la quatrième femme à réaliser l’affiche de la Feria depuis qu’elle est confiée à des artistes. « C’est un privilège d’être aux côtés de grands noms de la peinture tels que José Pirès ou Michel Gilles », se félicite la peintre née à Lodève et qui habite à Nîmes depuis plus de 30 ans. Son œuvre pour cette Feria : un portrait de la rejoneadora (cavalière tauromachique), la Péruvienne Conchita Cintrón. « J’aime la corrida, j’ai déjà réalisé des portraits de Juan Belmonte, Morante de la Puebla, Nimeño II… Mais pour cette œuvre, je voulais une femme forte et libre qui s’est engagée dans ce monde très masculin. Elle est l’une des grandes figures de la tauromachie, non seulement pour les femmes mais aussi de la tauromachie en général », continue l’artiste qui utilise le brou de noix donnant cet aspect évanescent et couleur café à ses toiles.
nicolebousquet.fr

Wided Atatou, sportive pleine d’avenir

Cette jeune athlète nîmoise de 23 ans est spécialiste du sprint sur 100 m et 200 m. Elle évolue au sein de l’Entente Nîmoise d’Athlétisme depuis son plus jeune âge : « On a de très bonnes infrastructures sportives ici.
J’ai été approchée par d’autres clubs mais je souhaite rester dans ma ville de cœur. J’ai mon confort, mon équilibre, mon staff. Nîmes est une ville de sport et à taille humaine, c’est ce que j’apprécie.
 » Originaire de Corse, mais Nîmoise d’adoption depuis l’âge de 4 ans, la coureuse rêve grand : « Au niveau international j’ai déjà débloqué mon compteur de médailles en relais et j’ai envie de confirmer en individuel. Mes objectifs, à court terme, ce sont les championnats de France à Albi et les championnats du monde à Budapest en juillet. Mais le graal pour tous les athlètes, ce sont les J.O. »

@wided.atatou

Elisa Sanchez, jeune présidente du Club Soroptimist

Issue d’une famille d’hôteliers et de restaurateurs, Elisa, 26 ans, travaille pour les Hôtels de Nîmes, un réseau d’hôtels indépendants. Née à Papeete en Polynésie Française, elle a été adoptée à la naissance et a vécu toute sa vie à Nîmes. Très attachée à sa ville, elle a pris la présidence du Club Soroptimist de Nîmes pour une durée de 2 ans : « Je me suis investie en 2018 à l’occasion d’Octobre Rose. Je me suis battue pendant plusieurs années contre un cancer, ce qui m’a permis de mieux comprendre les femmes malades. En tant que présidente, je souhaite amener de la fraîcheur et de la jeunesse au sein de l’association, lui donner une autre image. » Cette association, ouverte seulement aux femmes, dépend d’une ONG mondiale. Elle a pour but d’organiser des événements et de récolter des fonds ensuite reversés à des causes comme la santé, la lutte contre les violences faites aux femmes, l’émancipation de la femme, la paix et l’environnement.
nimes.soroptimist.fr

Elisa Sanchez, jeune présidente du Club Soroptimist

Issue d’une famille d’hôteliers et de restaurateurs, Elisa, 26 ans, travaille pour les Hôtels de Nîmes, un réseau d’hôtels indépendants. Née à Papeete en Polynésie Française, elle a été adoptée à la naissance et a vécu toute sa vie à Nîmes. Très attachée à sa ville, elle a pris la présidence du Club Soroptimist de Nîmes pour une durée de 2 ans : « Je me suis investie en 2018 à l’occasion d’Octobre Rose. Je me suis battue pendant plusieurs années contre un cancer, ce qui m’a permis de mieux comprendre les femmes malades. En tant que présidente, je souhaite amener de la fraîcheur et de la jeunesse au sein de l’association, lui donner une autre image. » Cette association, ouverte seulement aux femmes, dépend d’une ONG mondiale. Elle a pour but d’organiser des événements et de récolter des fonds ensuite reversés à des causes comme la santé, la lutte contre les violences faites aux femmes, l’émancipation de la femme, la paix et l’environnement.
nimes.soroptimist.fr

Faustine, chanteuse flamboyante

À 33 ans, Faustine est une des plus belles voix de Nîmes. Elle vient de sortir son premier grand album, Brasier. Un opus réalisé par le musicien Da Silva évoquant passion amoureuse, émancipation mais aussi force de la nature, le tout dans une atmosphère électro, rock et pop. « La scène, c’est le lieu de la vérité. C’est un moment unique partagé avec le public », raconte la chanteuse qui a notamment joué à l’Olympia en 2018 pour les 20 ans du dispositif « Musiciens du métro » quelques mois après avoir remporté le tremplin musical du Département, « Les Before ». Une belle ascension pour la Nîmoise influencée par des artistes comme Juliette Armanet, Barbara ou Maxime Le Forestier. La chanteuse jouera son nouvel album à la Moba à Bagnols-sur-Cèze le 11 mars à 19h et au Prolé à Nîmes le 24 mars à 20h.
faustineofficiel.fr