TRIBUNEs POLITIQUES de Mars 2022
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
La carte scolaire pour la rentrée prochaine prévoit la fermeture de classes dans huit écoles de Nîmes, situées en REP ou en quartiers populaires. De même, les dotations horaires dans les collèges situés en Réseaux d’Éducation Prioritaire sont annoncées à la baisse.
Ces fermetures entraîneront une hausse d’effectifs dans les autres classes de ces établissements, et remettront en cause les projets pédagogiques spécifiques mis en place par les équipes éducatives investies dans ces écoles ou collèges et notamment le travail en groupe réduits pour l’aide aux élèves en difficulté.
Les 13 et 20 janvier derniers, nous avons soutenu la mobilisation des enseignants et des parents d’élèves qui exprimaient leur colère devant la gestion de la crise sanitaire à l’école, et qui réclamaient des moyens et des mesures fortes pour le bon fonctionnement de l’Ecole : baisse d’effectifs dans les classes, créations de postes d’enseignants, de remplaçants formés, d’AESH pour les élèves en situation de handicap….
Or, ces mesures de fermetures vont à l’encontre de ces demandes légitimes de moyens nécessaires pour une École de la République seule garante de l’égalité des chances pour tous, partout sur le territoire.
Nous partageons la colère de la communauté éducative face à ces fermetures de classes, l’Ecole ne doit en aucun cas être la valeur d’ajustement des politiques neo-libérales !
V. Bouget, J. Menut, C. Giacometti, B. Ferrier, S. Fayet, C. Bastid,
M. Bernède, elus.ncg@orange.fr
Les Progressistes
L’élection présidentielle approche à grands pas, les 10 et 24 avril prochains nous sommes appelés à accomplir le geste fondateur de toute démocratie ; celui de voter. Cette responsabilité que nous devons prendre est avant tout un droit chèrement acquis, un devoir républicain mais aussi un acte de reconnaissance adressé à l’Histoire et notamment celle écrite par ceux qui se sont battus pour que nous soyons libres de nos choix, libres dans notre vie de femmes et d’hommes, pleinement conscients d’une chance que d’autres ne connaissent toujours pas ou plus. L’abstention n’est donc pas un choix, c’est un renoncement, c’est s’en remettre à des gens qu’on n’a pas élus pour gouverner sa vie ; voter c’est prendre 10 minutes, un dimanche de printemps, pour être un citoyen reconnu qui existe à part entière.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte ce mois-ci.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Agissons !
Comme chaque année, nous célébrerons le 8 mars la Journée internationale des droits des femmes, un événement qui met à l’honneur nos actions pour lutter contre les inégalités et les violences insupportables au quotidien.
Il y a tout juste deux ans, Jean-Paul Fournier annonçait la création d’une délégation aux droits des femmes confiée à Mylène Mouton. Depuis le début du mandat, Monsieur le Maire et ses équipes ont déjà mené plusieurs actions pour renforcer le droit des femmes.
En 2021, le groupe de la Majorité municipale a mis en place le dispositif Angela, permettant à toute personne harcelée ou agressée de se réfugier dans un établissement dont les employés sont formés pour la protéger et prévenir les secours. Aujourd’hui, plus de 150 commerçants ont rejoint le dispositif et au moins neuf femmes ont été secourues. Neuf raisons d’espérer, neuf vies qui ont sans doute été sauvées. Comme le souligne la conseillère municipale Mylène Mouton, l’objectif n’est pas dans la quantité, mais dans la sensibilisation des Nîmois, car l’égalité doit être le combat de chacun.
En outre, la Ville de Nîmes a ouvert deux logements d’urgence dédiés aux femmes victimes de violences et à leurs enfants. Ils permettent d’abriter des familles en détresse et de leur assurer un suivi sur le long terme par le Centre communal d’action sociale (CCAS).
Au-delà de la lutte contre les agressions faites aux femmes, un autre enjeu demeure : celui de l’égalité face au travail. Françoise Giroud, ministre de la Condition féminine dans le premier gouvernement de Jacques Chirac, affirmait déjà il y a quarante ans : « La femme serait vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. » Une phrase qui, malheureusement, reste d’actualité. Néanmoins, la parité progresse chaque année et en septembre 2021, les effectifs de la Ville de Nîmes comptaient 56,5 % de femmes.
Afin de venir en aide aux femmes en situation de précarité, la Majorité municipale a également organisé une collecte de fonds et de produits d’hygiène de première nécessité. Ce projet mené par l’Adjointe déléguée à la Santé Dolorès Orlay-Moureau a permis de récolter 2 300 kits d’hygiène. Un franc succès pour l’équipe de Jean-Paul Fournier.
Ce mois de mars permet de mettre en lumière les combats que mènent chaque jour de nombreuses femmes pour leur liberté, parfois même pour leur sécurité, au cœur même de nos quartiers. Les élus de la majorité s’en sont pleinement saisis et ont la volonté d’avancer sur cette question majeure pour l’avenir de la Nation française.
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
La carte scolaire pour la rentrée prochaine prévoit la fermeture de classes dans huit écoles de Nîmes, situées en REP ou en quartiers populaires. De même, les dotations horaires dans les collèges situés en Réseaux d’Éducation Prioritaire sont annoncées à la baisse.
Ces fermetures entraîneront une hausse d’effectifs dans les autres classes de ces établissements, et remettront en cause les projets pédagogiques spécifiques mis en place par les équipes éducatives investies dans ces écoles ou collèges et notamment le travail en groupe réduits pour l’aide aux élèves en difficulté.
Les 13 et 20 janvier derniers, nous avons soutenu la mobilisation des enseignants et des parents d’élèves qui exprimaient leur colère devant la gestion de la crise sanitaire à l’école, et qui réclamaient des moyens et des mesures fortes pour le bon fonctionnement de l’Ecole : baisse d’effectifs dans les classes, créations de postes d’enseignants, de remplaçants formés, d’AESH pour les élèves en situation de handicap….
Or, ces mesures de fermetures vont à l’encontre de ces demandes légitimes de moyens nécessaires pour une École de la République seule garante de l’égalité des chances pour tous, partout sur le territoire.
Nous partageons la colère de la communauté éducative face à ces fermetures de classes, l’Ecole ne doit en aucun cas être la valeur d’ajustement des politiques neo-libérales !
V. Bouget, J. Menut, C. Giacometti, B. Ferrier, S. Fayet, C. Bastid,
M. Bernède, elus.ncg@orange.fr
Les Progressistes
L’élection présidentielle approche à grands pas, les 10 et 24 avril prochains nous sommes appelés à accomplir le geste fondateur de toute démocratie ; celui de voter. Cette responsabilité que nous devons prendre est avant tout un droit chèrement acquis, un devoir républicain mais aussi un acte de reconnaissance adressé à l’Histoire et notamment celle écrite par ceux qui se sont battus pour que nous soyons libres de nos choix, libres dans notre vie de femmes et d’hommes, pleinement conscients d’une chance que d’autres ne connaissent toujours pas ou plus. L’abstention n’est donc pas un choix, c’est un renoncement, c’est s’en remettre à des gens qu’on n’a pas élus pour gouverner sa vie ; voter c’est prendre 10 minutes, un dimanche de printemps, pour être un citoyen reconnu qui existe à part entière.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte ce mois-ci.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Agissons !
Comme chaque année, nous célébrerons le 8 mars la Journée internationale des droits des femmes, un événement qui met à l’honneur nos actions pour lutter contre les inégalités et les violences insupportables au quotidien.
Il y a tout juste deux ans, Jean-Paul Fournier annonçait la création d’une délégation aux droits des femmes confiée à Mylène Mouton. Depuis le début du mandat, Monsieur le Maire et ses équipes ont déjà mené plusieurs actions pour renforcer le droit des femmes.
En 2021, le groupe de la Majorité municipale a mis en place le dispositif Angela, permettant à toute personne harcelée ou agressée de se réfugier dans un établissement dont les employés sont formés pour la protéger et prévenir les secours. Aujourd’hui, plus de 150 commerçants ont rejoint le dispositif et au moins neuf femmes ont été secourues. Neuf raisons d’espérer, neuf vies qui ont sans doute été sauvées. Comme le souligne la conseillère municipale Mylène Mouton, l’objectif n’est pas dans la quantité, mais dans la sensibilisation des Nîmois, car l’égalité doit être le combat de chacun.
En outre, la Ville de Nîmes a ouvert deux logements d’urgence dédiés aux femmes victimes de violences et à leurs enfants. Ils permettent d’abriter des familles en détresse et de leur assurer un suivi sur le long terme par le Centre communal d’action sociale (CCAS).
Au-delà de la lutte contre les agressions faites aux femmes, un autre enjeu demeure : celui de l’égalité face au travail. Françoise Giroud, ministre de la Condition féminine dans le premier gouvernement de Jacques Chirac, affirmait déjà il y a quarante ans : « La femme serait vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. » Une phrase qui, malheureusement, reste d’actualité. Néanmoins, la parité progresse chaque année et en septembre 2021, les effectifs de la Ville de Nîmes comptaient 56,5 % de femmes.
Afin de venir en aide aux femmes en situation de précarité, la Majorité municipale a également organisé une collecte de fonds et de produits d’hygiène de première nécessité. Ce projet mené par l’Adjointe déléguée à la Santé Dolorès Orlay-Moureau a permis de récolter 2 300 kits d’hygiène. Un franc succès pour l’équipe de Jean-Paul Fournier.
Ce mois de mars permet de mettre en lumière les combats que mènent chaque jour de nombreuses femmes pour leur liberté, parfois même pour leur sécurité, au cœur même de nos quartiers. Les élus de la majorité s’en sont pleinement saisis et ont la volonté d’avancer sur cette question majeure pour l’avenir de la Nation française.
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