TRIBUNEs POLITIQUES DE MARS 2021
Mars 2021
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
La question du logement comme celle de la rénovation urbaine est une question importante.
Disposer d’un logement adapté à ses besoins et à ses ressources est un droit.
L’ANRU agit en faveur des quartiers en difficultés sur le logement, mais plus largement sur le cadre de vie dont les activités culturelles, sportives, la présence des services publics et des commerces, sur l’emploi, les transports, les espaces verts, l’environnement… pour que chaque citoyen ait les moyens d’être écoresponsable.
Si les élus des différentes collectivités portent des projets ambitieux pour rendre les quartiers de notre ville plus attractifs, plus humains, il est indispensable de prendre en compte l’avis et les contributions, individuelles ou collectives, des habitants. En effet, ils sont porteurs, au quotidien, dans leurs réactions face à la mal-vie, de propositions pour construire la ville de demain. Les habitants, les comités de quartier, associations, les enseignants, les commerçants, les professionnels, les chauffeurs de bus qui vivent et travaillent dans les quartiers concernés doivent être entendus et considérés comme des acteurs à part entière.
C’est ensemble que s’écrit l’histoire d’une ville et d’un quartier. Davantage de moyens doivent être donnés pour faire concrètement émerger la parole citoyenne. Pour les habitants, l’urgence est à la réalisation des projets auxquels ils doivent être associés.
V.Bouget, J.Menut, P.Prat, C.Giacometti, B.Ferrier, S.Fayet, C.Bastid, M.Bernède / elus.ncg@orange.fr – 04 66 67 13 25
Les Progressistes
Avec plus de 140 millions d’euros sur 470 millions prévus au total, le montant attribué par l’État à notre ville dans le cadre du projet de renouvellement urbain (ANRU), offre à Nîmes une chance historique de repenser et de rénover collectivement les quartiers de Pissevin-Valdegour, Chemin Bas d’Avignon et Mas de Mingue. Fruit d’un travail collaboratif et permis par la réalisation de la ligne T2, ce projet que nous avons initié et porté au sein de l’Agglo changera durablement la vie des Nîmois. Mais il faut en parallèle associer systématiquement aux décisions, les habitants concernés dans une démarche sociale forte et s’engager en premier lieu pour une politique éducative volontariste qui, en s’inscrivant dans le temps long, fera de l’école le moteur de cet extraordinaire projet.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte du groupe Les Élus du Rassemblement national ce mois-ci.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Il était une fois ANGELA
ANGELA est le nom du nouveau dispositif mis en place par la Ville de Nîmes, afin de lutter contre ce fléau tant immoral que scandaleux, qu’est le harcèlement de rue.
Désormais, et grâce à ce dernier, une personne subissant un harcèlement de rue, pourra se réfugier dans un établissement disposant de l’autocollant « #OUESTANGELA ». Plus de 115 commerces nîmois ont répondu présent à l’appel de la Ville. Jean-Paul FOURNIER et l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale s’en réjouis et souhait que la totalité des commerces du cœur de ville et de sa périphérie, adhérent à ce dispositif.
Le constat est alarmant, 55 % des femmes disent avoir déjà été victimes d’injures dans la rue ou dans les transports en commun et 1 sur 5 d’injures sexistes en 2020. Tandis qu’un sondage révèle que 86 % des Françaises ont subi au cours de leur vie, une atteinte ou une agression sexuelle dans la rue. L’ampleur du phénomène et les séquelles que laisse ce dernier, impactent la vie des femmes et peuvent amener à des issues dramatiques. Les Nîmoises et les Nîmois ont encore en tête l’affaire Mya, qui avait touché et avant tout révolté à juste titre l’opinion publique. Le dispositif ANGELA œuvre pour que de tels actes n’aient à nouveau lieu.
« Je n’accepte plus les choses que je ne peux changer, je change les choses que je ne peux accepter » c’est dans cet esprit que la Ville de Nîmes sous l’impulsion de Jean-Paul FOURNIER a fait le choix de l’action en créant et en prenant en charge la campagne de communication et sa mise en œuvre auprès des établissements commerciaux de la cité des Antonins.
C’est également dans ce même esprit que Jean-Paul FOURNIER a décidé d’inclure à son programme lors de la dernière campagne municipale une nouvelle délégation pour les Droits des Femmes, l’Égalité, la Lutte contre les discriminations et l’Aide aux victimes. Cette délégation est une fierté mais avant tout une nécessité et doit servir d’exemple.
Le dispositif ANGELA vit le jour au Royaume-Uni lors de l’année 2016, il tient son nom au mot Angel signifiant ange en anglais. Désormais cet ange veillera à la sécurité des Nîmoises au sein même de la cité des Antonins.
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
La question du logement comme celle de la rénovation urbaine est une question importante.
Disposer d’un logement adapté à ses besoins et à ses ressources est un droit.
L’ANRU agit en faveur des quartiers en difficultés sur le logement, mais plus largement sur le cadre de vie dont les activités culturelles, sportives, la présence des services publics et des commerces, sur l’emploi, les transports, les espaces verts, l’environnement… pour que chaque citoyen ait les moyens d’être écoresponsable.
Si les élus des différentes collectivités portent des projets ambitieux pour rendre les quartiers de notre ville plus attractifs, plus humains, il est indispensable de prendre en compte l’avis et les contributions, individuelles ou collectives, des habitants. En effet, ils sont porteurs, au quotidien, dans leurs réactions face à la mal-vie, de propositions pour construire la ville de demain. Les habitants, les comités de quartier, associations, les enseignants, les commerçants, les professionnels, les chauffeurs de bus qui vivent et travaillent dans les quartiers concernés doivent être entendus et considérés comme des acteurs à part entière.
C’est ensemble que s’écrit l’histoire d’une ville et d’un quartier. Davantage de moyens doivent être donnés pour faire concrètement émerger la parole citoyenne. Pour les habitants, l’urgence est à la réalisation des projets auxquels ils doivent être associés.
V.Bouget, J.Menut, P.Prat, C.Giacometti, B.Ferrier, S.Fayet, C.Bastid, M.Bernède / elus.ncg@orange.fr – 04 66 67 13 25
Les Progressistes
Avec plus de 140 millions d’euros sur 470 millions prévus au total, le montant attribué par l’État à notre ville dans le cadre du projet de renouvellement urbain (ANRU), offre à Nîmes une chance historique de repenser et de rénover collectivement les quartiers de Pissevin-Valdegour, Chemin Bas d’Avignon et Mas de Mingue. Fruit d’un travail collaboratif et permis par la réalisation de la ligne T2, ce projet que nous avons initié et porté au sein de l’Agglo changera durablement la vie des Nîmois. Mais il faut en parallèle associer systématiquement aux décisions, les habitants concernés dans une démarche sociale forte et s’engager en premier lieu pour une politique éducative volontariste qui, en s’inscrivant dans le temps long, fera de l’école le moteur de cet extraordinaire projet.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte du groupe Les Élus du Rassemblement national ce mois-ci.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Il était une fois ANGELA
ANGELA est le nom du nouveau dispositif mis en place par la Ville de Nîmes, afin de lutter contre ce fléau tant immoral que scandaleux, qu’est le harcèlement de rue.
Désormais, et grâce à ce dernier, une personne subissant un harcèlement de rue, pourra se réfugier dans un établissement disposant de l’autocollant « #OUESTANGELA ». Plus de 115 commerces nîmois ont répondu présent à l’appel de la Ville. Jean-Paul FOURNIER et l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale s’en réjouis et souhait que la totalité des commerces du cœur de ville et de sa périphérie, adhérent à ce dispositif.
Le constat est alarmant, 55 % des femmes disent avoir déjà été victimes d’injures dans la rue ou dans les transports en commun et 1 sur 5 d’injures sexistes en 2020. Tandis qu’un sondage révèle que 86 % des Françaises ont subi au cours de leur vie, une atteinte ou une agression sexuelle dans la rue. L’ampleur du phénomène et les séquelles que laisse ce dernier, impactent la vie des femmes et peuvent amener à des issues dramatiques. Les Nîmoises et les Nîmois ont encore en tête l’affaire Mya, qui avait touché et avant tout révolté à juste titre l’opinion publique. Le dispositif ANGELA œuvre pour que de tels actes n’aient à nouveau lieu.
« Je n’accepte plus les choses que je ne peux changer, je change les choses que je ne peux accepter » c’est dans cet esprit que la Ville de Nîmes sous l’impulsion de Jean-Paul FOURNIER a fait le choix de l’action en créant et en prenant en charge la campagne de communication et sa mise en œuvre auprès des établissements commerciaux de la cité des Antonins.
C’est également dans ce même esprit que Jean-Paul FOURNIER a décidé d’inclure à son programme lors de la dernière campagne municipale une nouvelle délégation pour les Droits des Femmes, l’Égalité, la Lutte contre les discriminations et l’Aide aux victimes. Cette délégation est une fierté mais avant tout une nécessité et doit servir d’exemple.
Le dispositif ANGELA vit le jour au Royaume-Uni lors de l’année 2016, il tient son nom au mot Angel signifiant ange en anglais. Désormais cet ange veillera à la sécurité des Nîmoises au sein même de la cité des Antonins.
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