Elu pour la première fois maire de Nîmes le 18 mars 2001, Jean-Paul Fournier fête ce jour ses vingt ans à la tête de la 19e ville de France. Deux décennies durant lesquelles il a réussi à changer totalement l’image de sa commune, la faisant entrer pleinement dans le XXIe siècle.
Les allées Jean-Jaurès, l’axe Arènes-Esplanade-Feuchères, le Musée de la Romanité, la Faculté à Hoche, la rénovation des places du centre-ville… Autant de projets urbains et d’équipements publics nouveaux qui ont fait de Nîmes une ville plus belle, plus attractive et plus moderne.
« Je veux avant tout remercier les Nîmois, qui m’ont renouvelé leur confiance en 2008, 2014 et 2020, et m’ont permis de mener de bout en bout de gros dossiers comme le Musée de la Romanité, ma plus grande fierté, qui a mis dix ans à se réaliser, explique l’édile de la cité des Antonin. Tout ce que mes équipes successives et moi avons entrepris n’a eu qu’un seul but : redonner aux Nîmois une ville à leur image, une ville dont ils peuvent aujourd’hui être fiers. »
Sa recette ? Une rigueur budgétaire sans faille pour désendetter la Ville puis se dégager des marges de manœuvre afin d’investir dans des projets forts, ambitieux et innovants. Le tout sans augmenter une seule fois les impôts locaux.
Réélu pour un quatrième mandat l’an dernier, Jean-Paul Fournier, 75 ans, va encore mener de gros chantiers jusqu’en 2026. A commencer par le programme de rénovation urbaine des quartiers prioritaires Pissevin-Valdegour, Chemin Bas d’Avignon et Mas de Mingue, mais aussi la réalisation du futur Palais des Congrès, prévu en 2025, ou la création du parc urbain Jacques Chirac.