TRIBUNEs POLITIQUEs DE FÉVRIER 2021
FÉvrier 2021
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
ALERTE POUR LA JEUNESSE
Les conséquences de la crise sanitaire ont plongé une grande partie de la jeunesse dans la précarité et la détresse psychologique. Étudiants, apprentis, jeunes travailleurs sont confrontés à la solitude, au décrochage, au chômage, à la pauvreté. L’État doit prendre des mesures fortes pour la jeunesse, en ouvrant d’urgence le RSA aux 18-25 ans qui en sont aujourd’hui exclus et en élargissant l’accès aux bourses afin de garantir un revenu aux étudiants. À Nîmes, la municipalité et l’université ont cofinancé une aide exceptionnelle de 200 € pour cent étudiants en difficulté. Nous saluons cette initiative mais déplorons son manque d’ampleur. Dans le cadre de son action sociale, la Ville peut et doit aller plus loin pour aider ses étudiants, dont plus de la moitié sont boursiers. Elle peut notamment soutenir davantage les associations qui leur apportent une aide alimentaire et matérielle. La municipalité devrait également proposer des dispositifs pérennes en faveur des étudiants, en subventionnant par exemple un accès facile et élargi à des consultations psychologiques gratuites. Enfin, alors que Nîmes connaît une croissance importante de son nombre d’étudiants, l’offre de logements en résidences CROUS doit être développée dans notre ville. À Nîmes comme partout en France, nous ne pouvons accepter qu’une génération soit sacrifiée. V.Bouget, J.Menut, P.Prat, C.Giacometti, B.Ferrier, S.Fayet, C.Bastid, M.Bernède / elus.ncg@orange.fr – 04 66 67 13 25Les Progressistes
Il est indispensable de redonner vie au centre-ville. C’est une nécessité économique et sociale de pallier l’agonie des commerces nîmois dont une centaine a baissé rideau ces dernières années sans être remplacés. Nommer un manager de centre-ville ne suffit pas. Il faut instaurer un droit de préemption commercial et taxer les locaux vacants. Il faut reprendre en main le stationnement urbain et renégocier les contrats des parkings. Il faut d’ores et déjà prévoir la mise en place d’ombrières et de brumisateurs pour une ville qui ne se vide plus en été. Il faut des assises du centre-ville, afin que les commerçants soient au cœur d’une vraie renaissance de leur outil de travail. Enfin, depuis juillet et la reprise annoncée par le groupe Socri Reim, toujours rien de neuf à la Coupole des halles.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte à publier pour cette édition.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Allo la Place Beauvau ?
Mais où est donc passé Gerald Darmanin ? Telle est la question que se pose l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale. Le Ministre de l’Intérieur avait pourtant assuré à Jean-Paul FOURNIER, lors de leur rencontre le 23 septembre Place Beauvau, sa venue dans la cité des Antonins durant le mois d’octobre afin de se rendre compte de l’étendue des problèmes d’insécurité qui résident dans nos quartiers. Il serait temps que M. DARMANIN mette ses engagements en application. Malgré l’annonce de l’arrivée des 13 nouveaux policiers, 10 le 1er avril, en espérant que ce ne soit pas un poisson et 3 début septembre, ces arrivées tardives paraissent surprenantes tandis que le nombre de ces agents parait trop insuffisant quant à la violence et l’intensité des agissements criminels répétés au sein de la cité des Antonins. Comment peut-il être imaginable que la Ville de Nîmes en soit amenée à lancer des travaux de sécurisation de l’école Georges Bruguier car des individus cagoulés et armés, s’y sont introduits. Une école de la République ne devrait avoir nécessité à de tels aménagements. Plus largement, les trafics de drogue engendrent dans notre cité des fusillades inacceptables avec parfois des armes de guerre. C’est un cri d’alerte que lancent Jean-Paul FOURNIER et l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale, il est grand temps d’agir. De tels phénomènes, n’ont pas leur place entre les murs de la cité des Antonins. Pourtant, les actions menées par le Ville de Nîmes pour renforcer la sécurité, prérogatives de l’Etat, sont multiples. Jean-Paul FOURNIER n’a eu de cesse de mener, au cours de ses mandats, des mesures de sécurité : doublement des effectifs de Police Municipale avec 5 nouveaux policiers recrutés cette année, 450 caméras, ce qui fait de Nîmes la 2e ville la plus vidéosurveillée de France, achat de nouveaux équipements pour les policiers. Plus largement, la Ville agit pour freiner ces trafics en achetant, au Chemin Bas d’Avignon, les garages du Portal, qui seront à terme détruits ou bien en programmant à Pissevin, dans le cadre de la rénovation urbaine, la destruction de la galerie Richard Wagner. Ces actions curatives sont indispensables dans le cadre de cet ambitieux programme de rénovation urbaine qui doit changer en profondeur l’image de ces quartiers en éradiquant les trafics et les réaménageant en profondeur, grâce à la mobilisation, à terme, de plus de 400 millions d’euros.
GROUPES DE L’OPPOSITION
Nîmes Citoyenne à Gauche
ALERTE POUR LA JEUNESSE
Les conséquences de la crise sanitaire ont plongé une grande partie de la jeunesse dans la précarité et la détresse psychologique. Étudiants, apprentis, jeunes travailleurs sont confrontés à la solitude, au décrochage, au chômage, à la pauvreté. L’État doit prendre des mesures fortes pour la jeunesse, en ouvrant d’urgence le RSA aux 18-25 ans qui en sont aujourd’hui exclus et en élargissant l’accès aux bourses afin de garantir un revenu aux étudiants. À Nîmes, la municipalité et l’université ont cofinancé une aide exceptionnelle de 200 € pour cent étudiants en difficulté. Nous saluons cette initiative mais déplorons son manque d’ampleur. Dans le cadre de son action sociale, la Ville peut et doit aller plus loin pour aider ses étudiants, dont plus de la moitié sont boursiers. Elle peut notamment soutenir davantage les associations qui leur apportent une aide alimentaire et matérielle. La municipalité devrait également proposer des dispositifs pérennes en faveur des étudiants, en subventionnant par exemple un accès facile et élargi à des consultations psychologiques gratuites. Enfin, alors que Nîmes connaît une croissance importante de son nombre d’étudiants, l’offre de logements en résidences CROUS doit être développée dans notre ville. À Nîmes comme partout en France, nous ne pouvons accepter qu’une génération soit sacrifiée. V.Bouget, J.Menut, P.Prat, C.Giacometti, B.Ferrier, S.Fayet, C.Bastid, M.Bernède / elus.ncg@orange.fr – 04 66 67 13 25Les Progressistes
Il est indispensable de redonner vie au centre-ville. C’est une nécessité économique et sociale de pallier l’agonie des commerces nîmois dont une centaine a baissé rideau ces dernières années sans être remplacés. Nommer un manager de centre-ville ne suffit pas. Il faut instaurer un droit de préemption commercial et taxer les locaux vacants. Il faut reprendre en main le stationnement urbain et renégocier les contrats des parkings. Il faut d’ores et déjà prévoir la mise en place d’ombrières et de brumisateurs pour une ville qui ne se vide plus en été. Il faut des assises du centre-ville, afin que les commerçants soient au cœur d’une vraie renaissance de leur outil de travail. Enfin, depuis juillet et la reprise annoncée par le groupe Socri Reim, toujours rien de neuf à la Coupole des halles.
Les élus du Rassemblement national
La rédaction n’a pas reçu de texte à publier pour cette édition.
GROUPE DE LA MAJORITÉ
Allo la Place Beauvau ?
Mais où est donc passé Gerald Darmanin ? Telle est la question que se pose l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale. Le Ministre de l’Intérieur avait pourtant assuré à Jean-Paul FOURNIER, lors de leur rencontre le 23 septembre Place Beauvau, sa venue dans la cité des Antonins durant le mois d’octobre afin de se rendre compte de l’étendue des problèmes d’insécurité qui résident dans nos quartiers. Il serait temps que M. DARMANIN mette ses engagements en application. Malgré l’annonce de l’arrivée des 13 nouveaux policiers, 10 le 1er avril, en espérant que ce ne soit pas un poisson et 3 début septembre, ces arrivées tardives paraissent surprenantes tandis que le nombre de ces agents parait trop insuffisant quant à la violence et l’intensité des agissements criminels répétés au sein de la cité des Antonins. Comment peut-il être imaginable que la Ville de Nîmes en soit amenée à lancer des travaux de sécurisation de l’école Georges Bruguier car des individus cagoulés et armés, s’y sont introduits. Une école de la République ne devrait avoir nécessité à de tels aménagements. Plus largement, les trafics de drogue engendrent dans notre cité des fusillades inacceptables avec parfois des armes de guerre. C’est un cri d’alerte que lancent Jean-Paul FOURNIER et l’ensemble du groupe de la Majorité Municipale, il est grand temps d’agir. De tels phénomènes, n’ont pas leur place entre les murs de la cité des Antonins. Pourtant, les actions menées par le Ville de Nîmes pour renforcer la sécurité, prérogatives de l’Etat, sont multiples. Jean-Paul FOURNIER n’a eu de cesse de mener, au cours de ses mandats, des mesures de sécurité : doublement des effectifs de Police Municipale avec 5 nouveaux policiers recrutés cette année, 450 caméras, ce qui fait de Nîmes la 2e ville la plus vidéosurveillée de France, achat de nouveaux équipements pour les policiers. Plus largement, la Ville agit pour freiner ces trafics en achetant, au Chemin Bas d’Avignon, les garages du Portal, qui seront à terme détruits ou bien en programmant à Pissevin, dans le cadre de la rénovation urbaine, la destruction de la galerie Richard Wagner. Ces actions curatives sont indispensables dans le cadre de cet ambitieux programme de rénovation urbaine qui doit changer en profondeur l’image de ces quartiers en éradiquant les trafics et les réaménageant en profondeur, grâce à la mobilisation, à terme, de plus de 400 millions d’euros.
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