2001-2019 : histoire d’une métamorphose
2001-2019 :
histoire d’une métamorphose
Si le budget 2019 traduit les projets et orientations de l’année, il s’inscrit dans le temps plus long de l’action publique et traduit les objectifs stratégiques déterminés depuis dix-huit ans. Rome ne s’étant pas faite en un jour, dessiner la Nîmes de demain est aussi un travail de longue haleine, dont on peut rétrospectivement mesurer le résultat aujourd’hui !
La population
s’est réapproprié des espaces publics embellis et sécurisés en centre-ville comme ici avenue Feuchères depuis 2012.
Des choix structurants pour transformer la ville
Il aura fallu presque deux décennies pour repenser le centre-ville en convertissant des kilomètres linéaires de voirie envahis par le stationnement sauvage en des espaces mettant en scène le patrimoine, dédiés aux piétons et aux nouvelles mobilités. Du parvis des Arènes aux allées Feuchères, jusqu’au nouveau quartier au sud de la gare routière, en passant par l’Esplanade ; des allées Jaurès aux 11 places de l’Écusson rénovées sans oublier l’avenue de la République, cette reconquête de la ville lui a conféré un nouveau visage.
Suivant le tracé du Tram’bus, une nouvelle colonne vertébrale urbaine est née, accompagnée d’aménagements paysagers de qualité. Dans les quartiers, la rénovation urbaine a permis de transformer les secteurs Chemin Bas d’Avignon et Valdegour, d’améliorer l’habitat de Gambetta et de la Placette, ou encore de créer l’éco-quartier Hoche Université tandis que se structurait le complexe hospitalier à Carémeau.
Les allées Jaurès,
près de 2 kilomètres de voirie entièrement repensés pour les mobilités actives, sur un cadre hydraulique redimensionné.
Ça continue en 2019
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L’embellissement du centre-ville se poursuit avec le réaménagement des quais de la Fontaine en concomitance avec ceux de l’Impérator, ainsi que l’environnement du Musée de la Romanité avec les études réalisées sur le Palais des Congrès. Dans les quartiers, priorité est donnée à la rénovation urbaine de Pissevin, Valdegour, Chemin Bas d’Avignon-Clos d’Orville et Mas de Mingue pour lesquels la convention avec l’État doit être signée au premier semestre et dont les premières actions seront lancées (plan de sauvegarde des copropriétés de Pissevin, démolition de l’immeuble Agrippa d’Aubigné au Mas de Mingue, poursuite du secteur Eboué…). Tandis que la tranche 1 de l’éco-quartier Hoche va entamer ses dernières réalisations, en particulier la rénovation de la deuxième partie de l’Université, c’est le quartier Richelieu qui fait l’objet pour cinq ans d’une opération programmée de rénovation de l’habitat renforcée d’un programme de réduction de la vulnérabilité aux inondations. À l’ouest, le Mas Védelin et la ZAC du Puits de Roulle poursuivent leur urbanisation.
L’avenue Feuchères
avant les travaux.
L’avenue Jean Jaurès
avant l’aménagement.
Les quais de la Fontaine
feront l’objet d’un réaménagement en 2019, prolongeant l’embellissement du centre-ville.
SUITE DU DOSSIER
2001-2019 : une action exigeante en faveur des générations futures
Une action exigeante en faveur des générations futures
Un budget qui tient ses promesses
En cette fin de mandat, la municipalité poursuit le cap fixé depuis dix-huit ans : maîtriser les dépenses de fonctionnement et désendetter la Ville tout en maintenant un niveau important d’investissement.